L'homme n'arrêtait pas de nous parler de
sa "malheureuse femme" alors qu'il lui avait donné
37 coups de couteau au cou, au thorax et à l'abdomen.
Dans ce conflit, le rôle des forces de
l'ordure a été déterminant.
C'est alors que le suspect a eu l'audace de s'endormir
pendant que nous l'interrogions.
L'homme nous regardait avec une insolence qui
n'avait d'égale que sa culpabilité.
Il est avéré que le plaignant a
porté plainte uniquement pour le plaisir de se plaindre.
L'homme nous raconta toute la vérité
qui n'était qu'un tissu de mensonges.
L'homme a refusé de reconnaître
qu'il nous avait menti en affirmant qu'il était mort.
Le prévenu a attendu d'avoir son repas
pour commencer une grève de la faim.
L'homme refusa de nous présenter ses papiers
qu'il n'avait pas.
L'homme sortit de son pantalon un engin avec
lequel il frappa violemment l'inspecteur à la bouche.
Interrogé par nos soins, l'homme a alors
menacé de nous répondre si on continuait à
l'interroger.
Le garçon de café était
une femme.
Nous avions que 2 chances sur 2 de réussir
l'opération, c'est pourquoi nous avons préféré
attendre les renforts demandés.
L'homme attendait l'autobus d'un oeil suspect.
Le suspect nous a alors menacé en fronçant
les sourcils.
Nous avons maintenu le suspect en détention
pour le détendre.
L'homme a déclaré textuellement
qu'il se refusait "à parler à des imbéciles
comme nous" et que pour ce motif il refuserait de parler
aussi au juge où nous voulions le conduire.
Les trois africains soupçonnés
d'avoir trempé dans l'affaire ont tous été
blanchis par l'enquête qui a suivi.
L'homme nous parla de son affaire qui n'était
pas trop grande au début mais qu'il avait réussi
à faire grossir grâce à son épouse.
Pour nous prouver son innoncence, l'homme nous
avoua d'autres délits commis antérieurement.